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Le projet musical d'Amal Guermazi ressemble, à bien des égards, dans ses grandes lignes à ce que fait André Rieu en Europe ; pour les moins ambitieux, il ressemble à celui de Yasmine Azaiez ou encore à ce que fait le musicien marocain Bouchart qui a été à la 58e édition du festival de Carthage. En d'autres termes, c'est une représentation fluide, qui demande à quelques moments la participation du public et qui ne demande pas beaucoup de concentration pour comprendre l'essence des mélodies et leur cohérence.

Le projet musical d'Amal Guermazi ressemble, à bien des égards, dans ses grandes lignes à ce que fait André Rieu en Europe ; pour les moins ambitieux, il ressemble à celui de Yasmine Azaiez ou encore à ce que fait le musicien marocain Bouchart qui a été à la 58e édition du festival de Carthage. En d'autres termes, c'est une représentation fluide, qui demande à quelques moments la participation du public et qui ne demande pas beaucoup de concentration pour comprendre l'essence des mélodies et leur cohérence.

Amal Guermazi, Meherzia Touil et Mehdi Ayachi au Théâtre Municipal de Tunis : rouge, blanc et enchantement

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À l'apogée de la domination de la télévision dans les années 1960, considérée comme une avancée technologique sans précédent dans l'histoire et confirmée comme le dispositif de communication le plus puissant de l'époque de l'après Deuxième Guerre mondiale. En effet, la télévision s'est accaparée d'importantes portions de la géographie de la radio et a occupé de plus en plus une part des fonctions d'information, d'éducation, de culture, de divertissement, de service rendu à la sphère politique et de moteur orientant l'attention sur les sujets marquants l'espace public.

À l'apogée de la domination de la télévision dans les années 1960, considérée comme une avancée technologique sans précédent dans l'histoire et confirmée comme le dispositif de communication le plus puissant de l'époque de l'après Deuxième Guerre mondiale. En effet, la télévision s'est accaparée d'importantes portions de la géographie de la radio et a occupé de plus en plus une part des fonctions d'information, d'éducation, de culture, de divertissement, de service rendu à la sphère politique et de moteur orientant l'attention sur les sujets marquants l'espace public.

Art dramatique à la télévision en Tunisie : faudrait-il une nouvelle Agence nationale de promotion audiovisuelle, comme ce fut dans les années 90 ?

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Toi, ou toi, cher professeur ou docteur, toi qui es frappé saisonnièrement par des crises d'épilepsie et un gonflement de l'ego, et qui mènes des campagnes de haine abominables contre ceux qui ont accompli, innové et réussi, au lieu de regarder ton échec et ta perte.

Toi, ou toi, cher professeur ou docteur, toi qui es frappé saisonnièrement par des crises d'épilepsie et un gonflement de l'ego, et qui mènes des campagnes de haine abominables contre ceux qui ont accompli, innové et réussi, au lieu de regarder ton échec et ta perte.

Au professeur/docteur qui se cache derrière son diplôme... le théâtre ne te reconnaît pas!

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Le 11 avril 2025 à l'espace Rio à Tunis, c'était l'avant-première du film Agora du réalisateur Alaeddine Slim, né en 1982. En réalité, le film a commencé son parcours en Europe depuis aout 2024 et a été tourné en 2023. Il sortira dans les salles tunisiennes le 16 avril courant.

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Le film "Agora" de Alaeddine Slim : le cauchemar n'arrive pas seul

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Dans le cadre de la troisième édition des "Théâtres du monde" organisé par le Théâtre national de Tunis, un public italo-tunisien avait rendez-vous le 26 mars 2025 avec la énième représentation de la pièce "Prometheus-The Blue kangaroo". Ce public était composé de personnalités connaisseuses du monde du 4ᵉ art. La pièce est du metteur en scène Simone Mannino. Dans cette pièce jouent des comédiens très rodés au monde de la scène et du spectacle, en l'occurrence, le monstre sacré Jamel Madani (Prométhée), Aymen Mabrouk , Mariem Sayeh, Giorgio Coppone et Chiara Muscato.

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"Prometheus-The Blue kangaroo" de Simone Mannino : solitude, hallucinations et espoir

في السابع والعشرين من مارس من كلّ عام، تتوهّج خشبات المسارح عبر العالم، وتُضاء الأضواء لتحتفي بذاك الفنّ الذي لا يشيخ، المسرح، ذاك الكيان الحيّ الذي ينبض بالكلمات والحركات، فيحمل هموم الإنسان وأحلامه، ويرتقي بالروح والعقل معًا. إنّه عيد المسرح، العيد الذي لا يُشبه غيره، لأنه يحتفي بفنّ هو في جوهره احتفال دائمٌ بالحياة.

في السابع والعشرين من مارس من كلّ عام، تتوهّج خشبات المسارح عبر العالم، وتُضاء الأضواء لتحتفي بذاك الفنّ الذي لا يشيخ، المسرح، ذاك الكيان الحيّ الذي ينبض بالكلمات والحركات، فيحمل هموم الإنسان وأحلامه، ويرتقي بالروح والعقل معًا. إنّه عيد المسرح، العيد الذي لا يُشبه غيره، لأنه يحتفي بفنّ هو في جوهره احتفال دائمٌ بالحياة.

المسرح... في يومه العالمي...ذاك الفنّ الذي لا يشيخ

Dimanche 23 mars 2025, dans le cadre de la troisième édition du "Théâtres du monde" organisé par le Théâtre National, le public avait rendez-vous à 21 h 30 avec une pièce inédite qui respire et transpire l'africanité à savoir "Sucre - an ice cream for a nice crime" du Chorégraphe et danseur ivoirien Abdoulaye Trésor Konaté. Celui-ci réside en France, depuis au moins une décennie.

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Konaté lors de la 3e édition des Théâtres du monde : sucre, sarcasme et lutte contre l'oubli

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Sans aucun doute, le spectacle pose un dialogue entre les générations et montre que la génération actuelle de nos artistes cherche à internationaliser notre riche patrimoine musical en le faisant connaitre au monde. Aussi, avec ce genre de spectacle de qualité, le festival de la Médina, montre encore une fois qu'il investit dans un art de qualité, c'est sa façon de résister à la concurrence, au temps et à l'art-faux occupant presque tout l'espace sonore de la société.

Sans aucun doute, le spectacle pose un dialogue entre les générations et montre que la génération actuelle de nos artistes cherche à internationaliser notre riche patrimoine musical en le faisant connaitre au monde. Aussi, avec ce genre de spectacle de qualité, le festival de la Médina, montre encore une fois qu'il investit dans un art de qualité, c'est sa façon de résister à la concurrence, au temps et à l'art-faux occupant presque tout l'espace sonore de la société.

"Aarboun 3" de Fadhel Jaziri et Haythem Lahdhiri : l'universalisation de la mélodie tunisienne est possible

Le rideau vient de tomber sur la 23ᵉ édition de la chanson tunisienne. Ce festival s'est déroulé en quatre soirées entre le 8 et le 11 mars 2025 et a choisi pour devise "La Tunisie chante". Ce festival est, en réalité, une plateforme pour donner une visibilité aux jeunes talents qui feront le futur de la musique et de la chanson officielle de demain.

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La 23ᵉ édition du festival de la chanson tunisienne : demeure encore un goût amer !

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Solo, Itinéris, à El Teatro : déambulation dans une existence en perte du nord

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